L'impact des classes pléthoriques sur l'enseignement-apprentissages de l'expression orale et écrite du français au Burundi enquête menée auprès des enseignants des élèves de quelques écoles fondamentales de la DCE Kayanza
| Item type | Current location | Call number | Copy number | Status | Date due | Barcode |
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Memoire
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Bibliothèque Centrale | 372.880.40 BIG (Browse shelf) | 1 | Not For Loan | 5010000363628 | |
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Memoire
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Bibliothèque Centrale | 372.880.40 BIG (Browse shelf) | 2 | Not For Loan | 5010000363611 |
Mémoire présenté et soutenu publiquement en vue de l'obtention du grade de licencié en pédagogie Appliquée, Agrégée de l'Enseignement secondaire en Français
Résumé,
Les classes pléthoriques, surtout dans les écoles fondamentales, sont au Burundi une réalité. On observe dans pas mal d'établissements scolaires, surtout au niveau du 4ème cycle de l'ECOFO, des effectifs élevés. Notre travail de recherche a pour objectif de vérifier si ces classes pléthoriques auraient un impact sur la qualité de l'enseignement-apprentissage de l'expression orale et écrite du français. Ainsi nous avons émis l'hypothèse générale : "Les effectifs pléthoriques des élèves dans des classes du 4ème cycle de l'ECOFO seraient un obstacle majeur pour l'enseignement-apprentissage du français" et les hypothèses spécifiques qui sont les suivantes :
- Le nombre trop élevé d'élèves dans les classes du 4ème cycle de l'ECOFO serait à la base de la détérioration de l'expression orale et écrite en français.
- Les classes nombreuses au 4ème cycle de l'ECOFO influencent l'usage des techniques d'enseignement qui ne conviennent pas.
- Le nombre élevé d'élèves ne favorise pas la bonne gestion de la classe pendant l'enseignement-apprentissage.
Pour vérifier nos hypothèses, nous avons mené une enquête par questionnaire auprès des 21 enseignants et 60 élèves de 12 ECOFO de la DCE Kayanza à savoir : KIREMA, MUYANGE, KABUYE I, RUGANZA I, RUGANZA II, KAYANZAI, KAYANZAII, MWENDO, CUKIRO,BUBEZI, MURAGO, KIRWATI.
Les résultats de notre enquête (83,34 % des enseignants, 81, 67% des élèves) montrent que les classes pléthoriques entrainent un obstacle majeur pour l'enseignement-apprentissage de l'expression orale et écrite du français.
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