La place de l'evaluation formative en expression orale au cycle supérieur des ecoles techniques privées Enquete ménée auprès des enseignants de français des classes de troisième année de la DCE Ntahangwa.
Published by : Université du Burundi, Institut de Pédagogie Appliquée, Département de Français. (Bujumbura) Physical details: X-68 f. 30 Cm.Item type | Current location | Call number | Copy number | Status | Date due | Barcode |
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Memoire | Bibliothèque Centrale | 372.880.40 NIB. (Browse shelf) | 1 | Not For Loan | 5010000510404 |
Mémoire Présenté et défendu Publiquement en vue de l'obtention du grade de Licencié en Pédagogie Appliquée, Agrégé de l'Enseignement Secondaire en Français.
RESUME,
Dans le monde de l'enseignement, l'évaluation formative a pour but de se centrer sur l'apprenant afin de constater où et en quoi il éprouve des difficultés pour l'aider à les surmonter afin de mieux progresser.
Notre travail de recherche a comme objectif de vérifier la place de l'expression orale dans les différentes évaluations formatives faites en classe et d'identifier les handicaps majeurs qui empêchent les enseignants de français de faire l'évaluation formative en expression orale.
Pour y arriver, nous avons émis les hypothèses suivantes:
- Les enseignants de français qualifiés ou non privilégieraient l'évaluation formative de l'écrit au détriment de l'oral.
- Le manque de formation et la non compréhension des objectifs de l'évaluation formative seraient les principales raisons de la non
pratique de l'évaluation formative de l'expression orale chez les enseignants non qualifiés.
- Les enseignants de français privilégieraient l'évaluation sommative à la place de l'évaluation formative.
- L'évaluation formative de l'expression orale ne serait pas utilisée pour les raisons suivantes: faute de temps, effectif élevé des
élèves, le nombre insuffisant d'heures du cours de français et l'absence des critères de correction.
Pour vérifier ces hypothèses, nous avons formulé un questionnaire d’enquête adressé aux enseignants de la DCE NTAHANGWA qui enseignent les classes de 3ᵉᵐᵉ années.
Les résultats montrent que l'évaluation formative de l'écrit est la plus préférée par rapport à l'oral. Ils indiquent que le temps, le nombre insuffisant d'heures du cours de français, l'effectif élevés et l'absence des critères de correction constituent des handicaps pour l'évaluation formative de l'expression orale.
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