Le Thème de l'engagement social dans le roman "La haine n'aura pas le dernier mot" de Christel Martin
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Bibliothèque Centrale | 840.NIN.T (Browse shelf) | 1 | Not For Loan | 5010000428327 | |
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Bibliothèque Centrale | 840.NIN.T (Browse shelf) | 2 | Not For Loan | 5010000428334 |
Mémoire présenté et défendu publiquement en vue de l'obtention du grade de Licencié en Pédagogie Appliquée, Agrégé de l'Enseignement Secondaire en Français.
RESUME
Christel MARTIN psychologue clinicienne, est un auteur français émergeant au XXIème siècle. Elle figure sur la liste des auteurs qui ont écrit sur la situation socio-politique du Burundi, caractérisée par des guerres interethniques depuis son indépendance.
La haine n'aura pas le dernier mot qui est du XXIème siècle, met en exergue le comportement digne de certaines gens telle que Marguérite BARANKITSE lors des conflits interethniques qui ont marqué le Burundi de 1993 à 2003. Ainsi, le thème de l'engagement social domine dans La haine n'aura pas le dernier mot.
L'engagement social est le fait de prendre parti sur les faits politiques ou sociaux par son action et ses discours. Le fait de s'engager pour une cause sociale relève des valeurs humaines contribuant au respect de la personne humaine et à la bonne marche de la société : telles sont nos motivations.
Notre travail s'articule en trois chapitres. Le premier chapitre concerne les définitions des concepts clés de notre travail et quelques exemples des cas d'engagement social.
Le second chapitre montre les causes de l'engagement de Marguerite BARANKITSE et comment l'amour a triomphé sur la haine. L'assassinat du président Melchior NDADAYE et les massacres qui s'en sont suivis en étaient les causes majeures.
Le troisième chapitre met au clair les conséquences de l'engagement social de Marguérite BARANKITSE où son action humanitaire s'est heurtée à différents préjugés et différentes positions d'opinion autant pour les gens de son appartenance ethnique que de l'ethnie hutu.
A travers Marguerite BARANKITSE et d'autres gens qui se sont associés à elle, l'auteur Christel MARTIN montre que, même si certaines personnes s'étaient acharnées contre leurs semblables, certaines d'autres s'affairaient à sauver leur vie. Ainsi, l'auteur montre qu'au Burundi, il y a possibilité de se réconcilier et de vivre une paix durable si tout Burundais en prend conscience.
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