La planification agricole et la croissance économique au Burundi
Published by : Université du Burundi, Faculté des Sciences Economiques et Administratives (Bujumbura) Physical details: XII-91 f. 30 cm.


Item type | Current location | Call number | Copy number | Status | Date due | Barcode |
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Bibliothèque de la Faculté des Sciences Économiques et Administratives | 338.01 NDA.P (Browse shelf) | 2 | Not For Loan | 5010000581633 | |
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Bibliothèque Centrale | 338.01 NDA. P (Browse shelf) | 1 | Not For Loan | 5010000422592 |
Dans le cadre de notre travail de recherche intitulé " La planification agricole et la croissance économique au Burundi", il a été question d'analyse l'évolution de la place de l'agriculture dans les instruments de planification agricole au Burundi ainsi que l'impact de cette planification sur la croissance économique.
Nous nous sommes donné comme première hypothèse de travail que la planification agricole passe par les instruments de planification de long, de moyen et de court terme et, eu égard de la vulnérabilité et de la volatilité du secteur agricole, nous avons posé une deuxième hypothèse que la planification ne contribue pas à la croissance économique au Burundi.
Pour arriver à tester nos hypothèses, certaines variables de décision ont été prises. C'est éventuellement le Produit Intérieur Brut comme variable endogène et les Crédits Bancaires Agricoles, les Recettes d'Exportation des Produits Primaires, le Budget Ordinaire de Fonctionnement Agricole, le Budget Extraordinaire d'Investissement Agricole ont été prise comme variables indépendantes. Plusieurs techniques et méthodes pour le recueil et le traitement des données nous ont été très utiles. C'est notamment la méthode économique qui, à l'aide de Modèle à Correction d'Erreur, nous a permis de voir que toutes les variables explicatives considérées sont contributives à la croissance économique que ce soit à court ou à moyen terme bien que leur contribution ne soit pas la même.
Nos résultats trouvés n'ont pas été concordants avec nos attentes contenues dans notre deuxième hypothèse, ce qui nous a fait infirmer notre hypothèse de travail.
Limites : La valeur ajoutée relative à l'opérationnalisation effective des Cadres des Dépenses à Moyen Terme (central et sectoriels).
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