Contribution à l'étude de la part de la culture de tomate dans le revenu des ménages burundais cas de la commune Rugombo
Item type | Current location | Call number | Copy number | Status | Date due | Barcode |
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Memoire | Bibliothèque Centrale | R.635.64 TOT. (Browse shelf) | 2 | Not For Loan | 5010000242770 | |
Memoire | Bibliothèque du Campus Zege | 635.64 TOT. (Browse shelf) | 1 | Not For Loan | 5010000500313 |
Mémoire présenté et défendu publiquement en vue de l'obtention du diplôme d'Ingénieur Industriel. Option : Agriculture.
Résumé,
Le présent travail a l'objet de montrer la part de la culture de tomate dans le revenu des ménage de la commune Rugombo de la province Cibitoke.
Pour mener a bien cette étude, nous avons procédé à une enquête accompagnée d'une interview auprès de 90 exploitants à raison de 5 exploitants par colline, toutes les personnes concernées par la culture de tomate étaient interrogées.
Les résultats obtenus montrent que la culture de tomate a une grande importance dans le revenu des ménages en communes Rugombo, elle fournit en moyenne 7724990 FBU par ménage pour l'année 2017 dont 100% s'orientent aux activités champêtres, 80% sont affectés à la consommation familiale, 65,55% est utilisé pour le frais scolaire des enfants, 25,56% pour l'habillement, 34,44% pour les soins sanitaire, 6,67% est épargné pour ^étre utilisé aux besoins ultérieurs et enfin 13,33% pour d'autres activités individuelle. 100% des producteurs consomment leurs récoltés lors que 96,67% vendent leur production alors que 75,55% offrent aux amis leurs récoltés.
Dans notre zone d'étude, les résultats montrent que 100% des producteurs pratiqueent seulement la fumure organique, a ce concerne la contre les maladies et ravageurs, la majorité envisage la lutte chimique (87,78%) au moment où les autres luttes partagent les pourcentages restants.
Malgré l'intérêt de cette culture, elle se heurte à des contraintes diverses notamment le manque de variétés résistantes (soit 53, 33%). les maladies ravageurs (soit 86,67%). Le manque du marché d'écoulement (soit 100%). le manque de moyens de conservations (sopit 97, 78%). et la dégradation de la fertilité des terres (soit 33,56%).
Les exploitants recommandent d'améliorer les techniques culturales (soit 60%%). Les systèmes de conservation (soit 97,78%, . le système de transport (soit 65,55%). le système de commercialisation (soit 100%), le système de taxation (soit 5,55%), et afin de renouveler les variétés (soit 100%).
Nous profitons de cette occasion pour lancer un appel aux exploitants de la tomate de suivre toutes les instructions données par les différents intervenants des filières de la tomate. Une sensibilisation sur l'importance de la culture de tomate améliora le revenu.
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