Analyse Thématique de la conception d'Icubahiro dans la société Burundaise D'après une enquete menée dans les zones de Muyama et Muzenga de la commune Buyengero en province Rumonge
Item type | Current location | Call number | Copy number | Status | Date due | Barcode |
---|---|---|---|---|---|---|
![]() |
Bibliothèque Centrale | 390.04 (Browse shelf) | Not for loan | |||
![]() |
Bibliothèque Centrale | 390.04 SIN (Browse shelf) | 1 | Not For Loan | 5010000289621 |
Mémoire présenté et défendu publiquement en vue de l'obtention du grade de Licencié en langues et Littératures Africaines.
Résumé,
Le présent travail est le résultat issu d'une réflexion sur la conception d'Icubahiro dans la société Burundaise. L'étude de cette valeur culturelle nous a semblée importante du fait qu'elle génère en même temps l'équilibre individuel, familial et social.
En effet, ce travail montre en grande partie les principes marques du respect et les grands moments de la manifestations du respect; les différents facteurs du respect et les différentes causes de la dégradation du respect. Il montre en outre l'importance du respect dans la vie sociale des barundi et met en exergue les différentes personnes respectables au Burundi.
En présence d'une personne respectable, le murundi manifeste une certaine modestie et met autant de réserves en actes qu'en paroles. Le contact avec la personne digne de respect se prépare : les mots sont sélectionnés et le langage doit être humble et doux avec un ajustement conventionnel des membres du corps. Toutesfois, l'hnneur se mérite. Les qualités du coeur, la richesse matérielle, l'autorité et l'âge constituent les principaux facteurs du respect. Les riches, les Chefs administratifs, les chefs religieux et relativement les hommes d'age sont les personnes respectables au Burundi.
Nous avons pu remarquer en définitive que le murundi est un homme d'honneur; il aime l'estime et il est sensible à la considération. La coutume est de dire "Hako uramba worangwa" (mieux vaut l'estime populaire que vivre longtemps). La réalité est que la promotion de cette valeur culturelle se heurte à un ostacle occasionné par le choc des cultures.
There are no comments on this title.