Contribution à l'étude des causes de baisse de production de la culture du maioc cas de la commune Kigamba; région naturelle de Buyogoma
Published by : Université du Burundi, Institut Supérieur d'Agriculture (Gitega) Physical details: X-55 f. 30 cm.Item type | Current location | Call number | Copy number | Status | Date due | Barcode |
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Memoire | Bibliothèque Centrale | R.633.493.NTE. (Browse shelf) | 1 | Not For Loan | 5010000491499 | |
Memoire | Bibliothèque du Campus Zege | 633.493.NTE. (Browse shelf) | 2 | Not For Loan | 5010000501396 |
Mémoire présenté et défendu publiquement pour l'obtention de diplôme d'Ingénieur industriel
RESUME,
Le présent travail de recherche est intitulé contribution à l'étude des causes de baisse de productionde la culture du manioc :cas de la commune KIGAMBA,région naturelle de BUYOGOMA.
L'objectif de notre étude consiste à connaître la réalité du monde rural en repérant les contraintrs dominantes et les points faibles des systèmes d'exploitation et de production du manioc dans la région naturelle de BUYOGOMA afin de proposer des stratégies de leurs améliorations.
En vue de récolter des informations nécessaires ,nous avons fait une enquête auprès de 90 exploitants en deux zones de la commune Kigamba soit 45 exploitants par zone.Nous avons enquêté les exploitants de 9 collines parmi les 14 collines en prenant 10 exploitants par colline.Nous nous sommes approchés des agriculteurs,des encadreurs de base ainsi que des administratifs territoriaux pour récolter le maximum d'informations relatives à la culture du manioc.
L'analyse des résultats de l'enquête menée auprès de 90 exploitants a montré que 100% d'exploitants affirment que les aléas climatiques,maladies et ravageurs du manioc sont les premières menaces du système d'exploitation dans la région naturelle de BUYOGOMA.
En outre nous avons constaté que la majorité des exploitants soit 64,44% utilisent les boutures tout venant,32,22% se servent des boutures de leurs anciens champs tandis que 3.33% compètent les boutures issues de leur exploitation par celles provenant des institutions de recherche;Nous avons aussi remarqué que seulement 18,9% ont creusé des fossés antiérosive.En plus, l'exiguité des terres est estimée à 92,22% et la méconnaissance de la pratique de lutte antiérosive est de 44,44% et 71,11% ne connaissent pas leurs encadreurs de base.
Les sols non protégés s'élèvent à 66.66% dépourvu d'agroforesterie.
Face à cette situation,la formation des agriculteurs à travers les domestrations des pratiques agricoles apporterait des avantages dans la résolution de leurs problèmes agricoles et pour juguler complètement la cause de baisse de production du manioc.
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