Mémoire présenté et défendu publiquement en vue de l'obtention du Grade de Licencié en Sciences de l'Education.

RÉSUME,

Les grossesses non désirées prennent une allure inquiétante chez les jeunes en général et surtout les jeunes élèves en particulier. Ainsi, ces derniers font recours aux méthodes contraceptives pour se prévenir de ces derniers font recours aux méthodes contraceptives pour se prévenir de ces grossesses non désirées, et nous nous sommes proposé d'étudier les opinions des élèves du secondaire sur l'utilisation de ces méthodes contraceptives en vue d'éviter les grossesses non désirées.

Dans notre travail,nous avons tenu en considération deux variables de recherche à savoir le sexe et le niveau d'étude correspondant respectivement aux deux hypothèses spécifiques. Nous avons abouti aux résultats obtenus après analyse et interprétation des données que nous avons conclus en nous interrogeant sur la question de savoir si nos hypothèses ont été confirmées, nuancés ou infirmées. Nous sommes partis de la première hypothèse spécifique qui stipulait que: les filles, beaucoup plus que les garçons apprécient positivement l'utilisation des méthodes contraceptives artificielles comme moyen de lutte contre les grossesses non désirées. Cette hypothèse a été confirmé. La deuxième hypothèse spécifique selon laquelle les élèves du cycle inférieur (10ᵉᵐ) beaucoup plus que leurs aînés du cycle supérieur l'usage des méthodes contraceptives artificielles comme moyen de lutte contre les grossesses non désirées a été infirmée. L'hypothèse générale selon laquelle l'usage des méthodes contraceptives artificielles est un moyen le plus efficace pour lutte contre les grossesses non désirées en milieu scolaire a été confirmée.
Il a été prouvé que la majorité des élèves soutiennent l'usage des méthodes contraceptives mais dans des propositions différentes selon le sexe et le niveau d'étude et suggèrent une campagne pour la sensibilisation du fonctionnement de chacune de ces dernières.