Importance socio-économique et gestion du marais aménagé, cas du marais de Nyabihondo commune Bukeye en province Muramvya
| Item type | Current location | Call number | Copy number | Status | Date due | Barcode |
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Memoire
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Bibliothèque Centrale | 626.8 NTA. (Browse shelf) | 1 | Not For Loan | 5010000365080 | |
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Memoire
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Bibliothèque Centrale | 626.8 NTA. (Browse shelf) | 2 | Not For Loan | 5010000365066 | |
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Memoire
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Bibliothèque du Campus Zege | 626.8.NTA (Browse shelf) | Not For Loan | 5010000503857 |
Mémoire présenté et défendu publiquement en vue de l'obtention du grade d'Ingénieur Industriel
Option : Génie Rural, Eaux et Forêts
RESUME
Le présent travail "IMPORTANCE SOCIO-ECONOMIQUE ET GESTION DU MARAIS AMENAGE, CAS DU MARAIS DE NYABIHONDO, COMMUNE BUKEYE, PROVINCE MURAMVYA" avait pour objectif général d'évaluer les avantages socio-économiques et l'entretien du marais aménagé après le départ des bailleurs.
Pour y parvenir, nous avons mené une enquête suprès des bénéficiaires pour savoir s'ils ressentent les conséquences positives de l'aménagement du marais de Nyabihondo. Dans le but d'obtenir les résultats satisfaisants un échantillon de 45 exploitants c'est-à-dire 15 personnes par périmètre a été choisi dans les trois périmètres qui constituent le marais.
Avant l'intervention de PRODEFI, l'accès aux intrants agricoles était difficile et les techniques agricoles étaient archaïques. Par contre, après l'intervention du projet, on a éradiqué toutes ces contraintes ce qui a fait qu'il y a eu une augmentation très sensible au niveau de la production agricole.
En effet, la production dumaïs avant l'aménagement du marais était de 0,46 tonnes par hectare et celle d'après l'aménagement du marais était de 4,03 tonnes par hectare c'est-à-dire une augmentation de 3,57 tonnes par hectare soit 776,09%.
Quant à l'entretien, les données ont montré que le taux de pérennité est satisfaisant : 98,70% pour les canaux primaires, 90% pour les partiteurs, 58,33% pour les chutes, 90,90% pour les déversoirs de sécurité et 66,66%, 90%, 80% respectivement pour les aqueducs, passerelles sur les canaux, passerelles sur émissaire.
Nous constatons que l'aménagement des marais est très nécessaire, donc, nous interpelons les intervenants d'augmenter les surfaces aménagées afin que les exploitants se procurent des revenus et deviennent capable de faire face aux dépenses et de couvrir les besoins alimentaires grâce au surplus de production qu'ils obtiennent.
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