Les méfaits du capiatlisme et la prise de conscience des ouvriers à travers Germinal d'Emile Zola
Item type | Current location | Call number | Copy number | Status | Date due | Barcode |
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Memoire | Bibliothèque Centrale | 840.BAG.M (Browse shelf) | 1 | Not For Loan | 5010000167042 | |
Memoire | Bibliothèque Centrale | 840.BAG.M (Browse shelf) | 2 | Not For Loan | 5010000167059 |
Mémoire présenté et défendu publiquement en vue de l'obtention du grade de Licencié en Pédagogie Appliquée
Résumé,
Ce thème évoque une réalité sociale de tous les temps, et n'a cessé d'inspirer tant de chercheurs (romanciers, journalistes, essayistes) surtout ceux du 19ème siècle, un siècle de la révolution industrielle.
Dans son Roman Germinal, l'écrivain naturaliste français Emile Zola, met en scène une forme particulière de lutte où le héros n'est pas isolé et où l'accent n'est pas mis sur un individu mais sur la société entière : une lutte collective.
Au 19ème Siècle, les artistes sont devenus nombreux et ont essayé de présenter ce phénomène socio-économique dû à la révolution industrielle. Mais c'est Zola qui dresse à travers Germinal une image réelle de la vie en présentant objectivement les problèmes qu'ont les ouvriers français pendant cette période caractérisée par l'exploitation des ouvriers par les capitalistes bourgeois. Etienne, héros du roman, est révolté par les conditions de vie misérable des mineurs. Après la révolte, la classe ouvrière se retrouve entièrement étouffée, privée de liberté.
Tout le monde est désespéré et ne voit pas vers où la société progresse. Certains préparateurs des revendications comptent sur l'espoir que les choses changeront un jour, et à une germination de la nouvelle société où il n'y aura ni misère, ni souffrance, ni injustice sociale.
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