Mémoire présenté et défendu publiquement en vue de l'obtention du grade de Licencié en Education Physique et Sportive

Résumé

Introduction : Le cyclisme est pratiqué au Burundi avec un nombre moins important de compétiteurs ce qui veut dire que ce sport est à l'état embryonnaire.
Des études qui ont été faites ont montré que le manque d'organisation de compétitions et de matériel
adéquat sont à la base du non développement du cyclisme au Burundi. Notre étude s'est intéressée sur le matériel lui-même pour voir si cela peut être un handicap au développement et à l'essor du cyclisme

Objectifs : Montrer que le frein de participation massive dans les compétitions cycliste est constitué par le matériel lui-même qui est cher et donc non accessible à la grande majorité des gens.
Montrer aussi que l'adoption du vélo dit Matabaro peut constituer un vecteur de vulgarisation du sport cycliste.

Méthode : Dans la récolte des données utiles à notre travail, nous avons utilisé le questionnaire écrit que nous avons nous-mêmes composé.

Résultats : Les résultats de cette recherche ont montré que le vélo dit Dérailleur n'est pas favorable à la vulgarisation du cyclisme au Burundi suite à la cherté de cet outil, mais également suite à la rareté de ses pièces de rechange sur le marché local.
Par contre, les mêmes résultats montrent bien que l'usage du vélo dit Matabaro peut constituer un moteur de vulgarisation du cyclisme au Burundi.

Conclusion : Selon les résultats reçus toutes les deux hypothèses sont confirmées et de cela, l'hypothèse générale et elle aussi confirmée.

Mots clés : Cyclisme, Bicyclette, Vélo dit Matabaro vecteur de vulgarisation, cyclotourisme.