Espaces verts et leurs impacts sur l'environnement humain et naturel en mairie de Bujumbura


Item type | Current location | Call number | Copy number | Status | Date due | Barcode |
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Bibliothèque Centrale | 712.25 KUR. (Browse shelf) | 1 | Not for loan | 5010000158743 |
Mémoire présenté et défendu publiquement en vue de l'obtention du grade de Licencié en Géographie. Option : Aménagement du territoire
RESUME
Depuis l'Antiquité, l'homme n'a jamais voulu se séparer complètement de la nature. Les plus privilégiés (empereurs, rois, religieux, etc.) ont su s'entourer de la nature en la protégeant et en la contemplant. Ils constituent l'un des indicateurs de mesure de la "qualité de vie" des citadins.
Les espaces verts se présentent sous différentes formes à savoir : les arbres d'alignement, les ronds-points, les terrains de jeux publics et privés, les jardins publics, les monuments, les places publiques et les jardins privés dont profitent visuellement les citadins.
En effet, ces espaces contribuent à l'animation de la ville de Bujumbura par le biais des différentes opportunités qu'ils offrent aux habitants de la zone d'étude en particulier et de la ville de Bujumbura en général (lieux de détente, de distraction, de loisir, etc. Ils favorisent également les relations sociales). En plus d'être des lieux de récréation, de par la végétation et les aménagements qui y sont érigés, ces espaces verts participent à la dépollution de l'air ambiant.
Ces espaces contribuent également à l'esthétique de la ville, ce qui est un attrait supplémentaire pour les visiteurs.
La concentration des hommes et des activités en milieu urbain avec des équipements de transport et de services qui l'accompagnent , est une des sources majeures de l'aggravation des questions environnementales à l'échelle des communes urbaines de Ngagara et Rohero. Avec la détérioration sans cesse croissante des espaces verts là où ils existent encore, les problèmes environnementaux apparaissent comme des facteurs de crise majeure dans la zone d'étude dans les prochaines décennies si le Ministère de tutelle, la Mairie de Bujumbura ainsi que les associations civiles à caractère environnemental ne s'investissent pas davantage.
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