Contribution à l'analyse de la commercialisation de la pomme de terre au Burundi une étude de cas sur l'axe Mugamba-Bujumbura
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dir.
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Nadayishimiye, Prudence
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aut.
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Université du Burundi
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Faculté des Sciences Economiques et Administratives
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Commercialisation
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Pomme de terre
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Burundi
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Mémoire
| Item type | Current location | Call number | Copy number | Status | Date due | Barcode |
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Memoire
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Bibliothèque de la Faculté des Sciences Économiques et Administratives | 381.SIN. (Browse shelf) | 3 | Not For Loan | 5010000586485 | |
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Memoire
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Bibliothèque Centrale | 381.SIN. (Browse shelf) | 1 | Not for loan | 5010000158125 | |
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Memoire
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Bibliothèque Centrale | 381.SIN. (Browse shelf) | 2 | Not for loan | 5010000158132 |
Mémoire présenté et défendu publiquement en vue de l'obtention du grade de Licencié en Sciences Economiques et Administratives.
Option : Economie Rurale
RESUME
L'objectif de notre étude était de contribuer à l'amélioration du système de la commercialisation de la pomme de terre par l'analyse de ses circuits au BURUNDI.
Pour arriver à ces objectif nous avons vérifié deux hypothèses à savoir :
Hypothèse 1 : La fixation et la variation du prix de la pomme de terre dépend de la structure du marché.
Hypothèse 2 : Les intermédiaires commerciaux prennent une grande marge à partir de transactions commerciales ce qui pèse sur le prix payé par le consommateur final.
Les résultats issus du calcul des taux de concentration des marchés primaires d'approvisionnement, nous a donné 63% et 79% détenus respectivement par 4 et 8 grands vendeurs ce qui témoigne une absence de transparence et de concurrence parfaite du marché de la pomme de terre, le marché est dominé par quelques commerçants qui fixent les prix et les autres n'ont qu'à suivre.
Au niveau du marché terminal, le calcul du taux de concentration nous a donné 53% et 78% détenus respectivement par 4 et 8 grands vendeurs, ce qui implique une concentration très modérée. Le marché n'est pas libre, car on est en présence d'un petit nombre de vendeurs qui détiennent des points de vente en détail de pomme de terre et d'un petit nombre d'acheteurs qui achètent de petites quantités ce qui dénotent une faible concurrence.
D'où la confirmation de notre première hypothèse : "la variation et la fixation du prix dépend de la structure du marché".
Le calcul des marges bénéficaires a donné une marge brute de 33.95% ce qui nous a conduit à confirmer notre dernière hypothèse " Les intermédiaires commerciaux prennent une grande marge à partir des transactions commerciales".
De ce qui précède, nous avons suggéré que l'organisation des commerçant de la pomme de terre en association ou en coopératives aurait un effet non négligeable sur la permanence du produit et la stabilité des prix.
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