Niyonizigiye, Serges
Contribution à l'étude des plantes sauvages comestibles et médicinales dans les zones Busoro et Kayongozi (commune Bweru, Province Ruyigi) / Serges Niyonizigiye . - Bujumbura : Université du Burundi, Institut de Pédagogie Appliquée, 2014 . - VII-61 f. ; 30 cm.
Résumé,
Notre travail avait pour objectif d'inventorier les espèces de plantes sauvage comestibles et médicinales des zones Busoro et Kayongozi et en établer la systématique, de dégager les usages thérapeutiques des plantes médicinales et d'indiquer, sur base des résultats de notre travail, les espèces les mieux utilisées dans le traitement de certaines maladies.
La méthodologie utilisée a été celle de faire une enquête auprès de la population suivie par une étude ethnobotanique et phytothérapeutique pour les plantes médicinales. Le travail nous a permis d'inventorier au total 93 espèces comestibles et médicinales. Les espèces médicinales soignent plus de 40 maladies.
Parmi ces espèces, 89 appartiennent à la classe des Magnolipsida et 4 à celle des Liliopsida. La famille des solanaceae est la plus représentée pour les plantes sauvages comestibles tandis que pour les plantes médicinales c'est la famille des Asteraceae qui est la plus riche. Les types morphologiques herbacé et ligneux sont les plus exploités pour les plantes comestibles et médicinales respectivement et la forme biologique dominante est celle des phanérophytes pour tous ces 2 types d'usages. L'élément soudano-zambézien domine dans cette flore chez les plantes comestibles et chez les plantes médicinales, grâce à la localisation phytogéographique du Burundi dans la région soudano-zambézienne.
L'étude ethnopharmacognostique des plantes médicinales a montré 7 formes médicamenteuses avec l'extraction du suc qui vient en tête. Les feuilles sont les organes les plus exploité et la voie orale est le monde d'administration le plus privilégié.
L'exploitation de certaines parties des plantes comme les racines et écorces de tiges conduirait, à la longue, à l'épuisement complet de ces ressources si rien n'est fait pour protéger ces plantes.
Don de l'auteur
631.963.
Contribution à l'étude des plantes sauvages comestibles et médicinales dans les zones Busoro et Kayongozi (commune Bweru, Province Ruyigi) / Serges Niyonizigiye . - Bujumbura : Université du Burundi, Institut de Pédagogie Appliquée, 2014 . - VII-61 f. ; 30 cm.
Résumé,
Notre travail avait pour objectif d'inventorier les espèces de plantes sauvage comestibles et médicinales des zones Busoro et Kayongozi et en établer la systématique, de dégager les usages thérapeutiques des plantes médicinales et d'indiquer, sur base des résultats de notre travail, les espèces les mieux utilisées dans le traitement de certaines maladies.
La méthodologie utilisée a été celle de faire une enquête auprès de la population suivie par une étude ethnobotanique et phytothérapeutique pour les plantes médicinales. Le travail nous a permis d'inventorier au total 93 espèces comestibles et médicinales. Les espèces médicinales soignent plus de 40 maladies.
Parmi ces espèces, 89 appartiennent à la classe des Magnolipsida et 4 à celle des Liliopsida. La famille des solanaceae est la plus représentée pour les plantes sauvages comestibles tandis que pour les plantes médicinales c'est la famille des Asteraceae qui est la plus riche. Les types morphologiques herbacé et ligneux sont les plus exploités pour les plantes comestibles et médicinales respectivement et la forme biologique dominante est celle des phanérophytes pour tous ces 2 types d'usages. L'élément soudano-zambézien domine dans cette flore chez les plantes comestibles et chez les plantes médicinales, grâce à la localisation phytogéographique du Burundi dans la région soudano-zambézienne.
L'étude ethnopharmacognostique des plantes médicinales a montré 7 formes médicamenteuses avec l'extraction du suc qui vient en tête. Les feuilles sont les organes les plus exploité et la voie orale est le monde d'administration le plus privilégié.
L'exploitation de certaines parties des plantes comme les racines et écorces de tiges conduirait, à la longue, à l'épuisement complet de ces ressources si rien n'est fait pour protéger ces plantes.
Don de l'auteur
631.963.