Hitimana, Jean Claude
Problématique d'intégration socioprofessionnelle d'un épileptique : enquête menée auprès des épileptiques pris en charge par l'Association TWAGURUMUTIMA / par Jean Claude Hitimana ; Pr Paul Nkunzimana, directeur . - Bujumbura : Université du Burundi, Faculté de Psychologie et des Sciences de l'Education, 2017 . - VII-97 f. ; 30 cm.
Mémoire présenté et défendu publiquement en vue de l'obtention du grade de Licencié en Psychologie. Option : Psychologie Clinique et Sociale.
RESUME
Tout être humain a besoin de vivre et surtout de bien vivre. Partant, il doit mener un combat acharné contre les obstacles qui s'opposent à son adaptation et à son intégration dans son milieu social, économique et professionnel. Parmi ces obstacles, nous citons à titre illustratif la maladie épileptique qui constitue toujours une entrave à l'épanouissement et au bien-être de l'être humain qui en est affecté.
Dans notre travail, nous avions voulu "étudier la problématique d'intégration socioprofessionnelle d'un épileptique", nous avons utilisé la méthode qualitative et la technique de l'enquête par l'entretien semi-directif comme techique de recherche. L'étude a montré que les parents d'épilesptiques enquêtés adoptent des attitudes ambivalentes qui oscillent entre la surprotection et le rejet du malade et cela constitue un handicap majeur au développement de l'estime de soi et à l'autonomisation d'un épileptique. La survenue de crises épileptiques constitue un obstacle à l'intégration professionnelle d'un épileptique, avec la réduction de son embauche pour cause d'inefficacité et/ou de risque d'accident. Nos interviewés on tadressé quelques conseils à l'endroit de l'épileptique lui-même à propos des attitudes positives comme l'estime de soi, l'ouverture au monde du travail et participation à l'établissement de bonnes relations sociales qu'il faudrait adopter pour faciliter son meilleure intégration socioprofessionnelle.
En définitive, après avoir relevé que la surprotection, le rejet, l'isolement, l'auto-sous-estimation, la marginalisation, la discrimination, le manque d'emploi constituent une barrière difficilement franchissable à l'intégration socioprofessionnelle pour un épileptique et que ces barrières sont inhérentes à l'épileptique lui-même, à sa famille et à son entourage, nous pouvons conclure que l'objectif général de recherche a été atteint.
Don de l'auteur
616.853.
Problématique d'intégration socioprofessionnelle d'un épileptique : enquête menée auprès des épileptiques pris en charge par l'Association TWAGURUMUTIMA / par Jean Claude Hitimana ; Pr Paul Nkunzimana, directeur . - Bujumbura : Université du Burundi, Faculté de Psychologie et des Sciences de l'Education, 2017 . - VII-97 f. ; 30 cm.
Mémoire présenté et défendu publiquement en vue de l'obtention du grade de Licencié en Psychologie. Option : Psychologie Clinique et Sociale.
RESUME
Tout être humain a besoin de vivre et surtout de bien vivre. Partant, il doit mener un combat acharné contre les obstacles qui s'opposent à son adaptation et à son intégration dans son milieu social, économique et professionnel. Parmi ces obstacles, nous citons à titre illustratif la maladie épileptique qui constitue toujours une entrave à l'épanouissement et au bien-être de l'être humain qui en est affecté.
Dans notre travail, nous avions voulu "étudier la problématique d'intégration socioprofessionnelle d'un épileptique", nous avons utilisé la méthode qualitative et la technique de l'enquête par l'entretien semi-directif comme techique de recherche. L'étude a montré que les parents d'épilesptiques enquêtés adoptent des attitudes ambivalentes qui oscillent entre la surprotection et le rejet du malade et cela constitue un handicap majeur au développement de l'estime de soi et à l'autonomisation d'un épileptique. La survenue de crises épileptiques constitue un obstacle à l'intégration professionnelle d'un épileptique, avec la réduction de son embauche pour cause d'inefficacité et/ou de risque d'accident. Nos interviewés on tadressé quelques conseils à l'endroit de l'épileptique lui-même à propos des attitudes positives comme l'estime de soi, l'ouverture au monde du travail et participation à l'établissement de bonnes relations sociales qu'il faudrait adopter pour faciliter son meilleure intégration socioprofessionnelle.
En définitive, après avoir relevé que la surprotection, le rejet, l'isolement, l'auto-sous-estimation, la marginalisation, la discrimination, le manque d'emploi constituent une barrière difficilement franchissable à l'intégration socioprofessionnelle pour un épileptique et que ces barrières sont inhérentes à l'épileptique lui-même, à sa famille et à son entourage, nous pouvons conclure que l'objectif général de recherche a été atteint.
Don de l'auteur
616.853.