Nzubahimana, Salomon
Le commerce informel transfrontalier au Burundi : cas de la Commune Kiremba en province Ngozi : 2015-2016 / par Salomon Nzubahimana ; Patrice Ndimanya, directeur . - Bujumbura : Université du Burundi, Faculté des Sciences Economiques et de Gestion, Option : Economie Rurale, 2016 . - IX-91 f. ; 30 cm.
Mémoire présenté et défendu publiquement en vue de l'obtention du grade de licencié en Sciences Economiques et de Gestion, Option : Economie Rurale.
RESUME
Le présent travail avait comme objectif global de faire une caractérisation du commerce informel transfrontalier illustré par le trafic informel entre la commune Kiremba et les communes transfrontalières du Rwanda et d'identifier les produits fréquemment échangés dans ce commerce.
Pour atteindre cet objectif, nous nous sommes proposé de vérifier les hypothèses suivantes :
H1 : L'inapplicabilité des lois avec rigueur et le laxisme des agents de l'administration publique seraient à la base de la prolifération des activités commerciales informelles transfrontalières.
H2 : Le commerce informel transfrontalier offre aux entrepreneurs qui l'exercent un revenu qui aide d'assurer en grande partie la sécurité alimentaire familiale.
Pour vérifier nos hypothjèses, nous avons recouru aux techniques documentaires et à l'enquête.
De ce fait, on a constaté que ce commerce regroupe des activités commerciales destinées à satisfaire les besoins des populations à faibles revenus et incapables de s'intégrer dans le commerce formel et il contribue de façon considérable à la survie de la population qui l'exerce dans la mesure où le revenu perçu dans ce commerce est fortement consacré à la consommation familiale pour une masse importante de la population.
Enfin, en partant de nos hypothèses de départ et après traitement de données d'enquête, nous avons confirmé la première et la deuxième hypothèse.
De tout qui précède, il a été suggéré à l'Etat de faciliter beaucoup les procédures administratives aux commercçants et de libéraliser ce commerce car les produits commercialisés dans ce domaine sont des petites quantités exonérées par la loi.
Aux commerçants informels transfrontaliers, d'éviter de passer par des frontières inconnues mais de passer par des frontières connues et faire une déclaration de leurs marchandises.
Mots-clés : Commerce informel transfrontalier, recettes fiscales, affectation du revenu.
Don de l'auteur
380.102.
Le commerce informel transfrontalier au Burundi : cas de la Commune Kiremba en province Ngozi : 2015-2016 / par Salomon Nzubahimana ; Patrice Ndimanya, directeur . - Bujumbura : Université du Burundi, Faculté des Sciences Economiques et de Gestion, Option : Economie Rurale, 2016 . - IX-91 f. ; 30 cm.
Mémoire présenté et défendu publiquement en vue de l'obtention du grade de licencié en Sciences Economiques et de Gestion, Option : Economie Rurale.
RESUME
Le présent travail avait comme objectif global de faire une caractérisation du commerce informel transfrontalier illustré par le trafic informel entre la commune Kiremba et les communes transfrontalières du Rwanda et d'identifier les produits fréquemment échangés dans ce commerce.
Pour atteindre cet objectif, nous nous sommes proposé de vérifier les hypothèses suivantes :
H1 : L'inapplicabilité des lois avec rigueur et le laxisme des agents de l'administration publique seraient à la base de la prolifération des activités commerciales informelles transfrontalières.
H2 : Le commerce informel transfrontalier offre aux entrepreneurs qui l'exercent un revenu qui aide d'assurer en grande partie la sécurité alimentaire familiale.
Pour vérifier nos hypothjèses, nous avons recouru aux techniques documentaires et à l'enquête.
De ce fait, on a constaté que ce commerce regroupe des activités commerciales destinées à satisfaire les besoins des populations à faibles revenus et incapables de s'intégrer dans le commerce formel et il contribue de façon considérable à la survie de la population qui l'exerce dans la mesure où le revenu perçu dans ce commerce est fortement consacré à la consommation familiale pour une masse importante de la population.
Enfin, en partant de nos hypothèses de départ et après traitement de données d'enquête, nous avons confirmé la première et la deuxième hypothèse.
De tout qui précède, il a été suggéré à l'Etat de faciliter beaucoup les procédures administratives aux commercçants et de libéraliser ce commerce car les produits commercialisés dans ce domaine sont des petites quantités exonérées par la loi.
Aux commerçants informels transfrontaliers, d'éviter de passer par des frontières inconnues mais de passer par des frontières connues et faire une déclaration de leurs marchandises.
Mots-clés : Commerce informel transfrontalier, recettes fiscales, affectation du revenu.
Don de l'auteur
380.102.