Kanzoya, Emmanuel
Contribution à l'étude des plantes comestibles et médécinales pou / par Emmanuel Kanzoya; Ferdinand Niyongabo, directeur . - Bujumbura : Université du Burundi, Institut de Pédagogie Appliquée, 2015 . - VII-57 f. ; 30 cm.
Mémoire présenté et défendu publiquement en vue de l'obtention du grade de Licenié en Pédagogie Appliquée, Agrégé de l'Enseignement Secondaire en Sciences Biologiques
RESUME
Notre travail a porté sur la contribution à l'étude des plantes sauvages comestibles et médicinales du Burundi : cas de la commune MUHUTA. L'objet de cette étude est d'établir leur classification, dégager leurs caractéristiques structurales, phytogéographiques et leurs usages.
L'étude floristique a abouti à l'identification de 100 espèces dont 28 espèces végatales comestibles et 82 espèces végétales médicinales. Parmi ces espèces, 90 espèces appariennent dans la classe des Magnoliopsida et 10 espèces à celle des Liliopsida. La famille des Solanaceae est la plus représentée pour les plantes sauvages comestibles et pour les plantes sauvages médicinales c'est la famille des Asteraceae le plus riche.
La dominance des phanérophytes sur les autres formes biologiques observées est en parfait accord avec celle de l'élément ligneux qui est la plus exploitée pour les plantes comestibles et médicinales. Le type morphologique herbacé et ligneux sont plus exploités.
L'analyse phytogéographique établie montre que l'élément Soudano-zambézien dominait chez les plantes comestibles et chez les plantes médicinales.
L'étude pharmacognosique des plantes médicinales o montré que les principales maladies traitées étaient les maladies infantiles, les maladies diarrhéiques et les vers intestinaux et que l'extraction du suc vient en tête comme mode de préparation.
Les feuilles restent les organes les plus employés et la voie orale est le mode d'administration le plus utilisé.
Les plantes sauvages comestibles et médicinales sont ménacées de dégradation par les actions anthropiques et l'exploitation de certaines parties des plantes comme les racines, les écorces des tiges conduisant au non régénérescence et enfin à la disparition des espèces autochtones.
Don de l'auteur
631.963.
Contribution à l'étude des plantes comestibles et médécinales pou / par Emmanuel Kanzoya; Ferdinand Niyongabo, directeur . - Bujumbura : Université du Burundi, Institut de Pédagogie Appliquée, 2015 . - VII-57 f. ; 30 cm.
Mémoire présenté et défendu publiquement en vue de l'obtention du grade de Licenié en Pédagogie Appliquée, Agrégé de l'Enseignement Secondaire en Sciences Biologiques
RESUME
Notre travail a porté sur la contribution à l'étude des plantes sauvages comestibles et médicinales du Burundi : cas de la commune MUHUTA. L'objet de cette étude est d'établir leur classification, dégager leurs caractéristiques structurales, phytogéographiques et leurs usages.
L'étude floristique a abouti à l'identification de 100 espèces dont 28 espèces végatales comestibles et 82 espèces végétales médicinales. Parmi ces espèces, 90 espèces appariennent dans la classe des Magnoliopsida et 10 espèces à celle des Liliopsida. La famille des Solanaceae est la plus représentée pour les plantes sauvages comestibles et pour les plantes sauvages médicinales c'est la famille des Asteraceae le plus riche.
La dominance des phanérophytes sur les autres formes biologiques observées est en parfait accord avec celle de l'élément ligneux qui est la plus exploitée pour les plantes comestibles et médicinales. Le type morphologique herbacé et ligneux sont plus exploités.
L'analyse phytogéographique établie montre que l'élément Soudano-zambézien dominait chez les plantes comestibles et chez les plantes médicinales.
L'étude pharmacognosique des plantes médicinales o montré que les principales maladies traitées étaient les maladies infantiles, les maladies diarrhéiques et les vers intestinaux et que l'extraction du suc vient en tête comme mode de préparation.
Les feuilles restent les organes les plus employés et la voie orale est le mode d'administration le plus utilisé.
Les plantes sauvages comestibles et médicinales sont ménacées de dégradation par les actions anthropiques et l'exploitation de certaines parties des plantes comme les racines, les écorces des tiges conduisant au non régénérescence et enfin à la disparition des espèces autochtones.
Don de l'auteur
631.963.