Irambona, Evelyne
Etude comparée de la femme traditionnelle et la femme moderne pour un développement équitable : Enquête menée auprès des femmes de la commune Murwi, zones Ngoma, Murwi et Buhayira / Evelyne Irambona ; Ph.D. Isaie Nimpagaritse, directeur . - Bujumbura : Université du Burundi, Faculté des Lettres et Sciences Humaines, département de langues et litératures africaines, 2013 . - IX-110 f. ; 30 cm.
La femme, que ce soit généralement en Afrique ou au Burundi en particulier, était, depuis la période traditionnelle, soumise aux diverses contraintes de la société. Notre question est de savoir si les femmes traditionnelles ne voyaient pas que les contraintes traditionnelles constituaient un obstacle à leur développement équitable. Etaient - elles incapables de pouvoir participer à la prise des décisions partout où elles étaient impliquées ?
Notre travail est subdivisé en quatre chapitres : le premier étant " Le cadre théorique et conceptuel" ; il définit et montre la relation entre différents termes en rapport avec le sujet. Le deuxième chapitre, "La femme dans la société africaine", est consacré à une comparaison sur la place et la situation de la femme africaine traditionnelle et moderne d'une façon générale, et en particulier la femme burundaise. Le troisième chapitre, "La position de la femme burundaise traditionnelle et moderne" ; il traite de la position de la femme burundaise traditionnelle et moderne. Dans l'étude que nous avons faite, nous avons mis à part la femme ancienne, tandis que l'autre ne se dessine que dans une période quasiment apparente.
D'une part, le statut de la femme traditionnelle est au cachot du désespoir. Ses droits et devoirs limités, sa contribution piétinée et son action juridique et politique voilées. D'autre part, la femme moderne est un agent égal à l'homme dans les facteurs de la promotion étatique. De ce fait, l'homme et la femme sont alors égaux pour s'atteler à la construction de leur territoire national sur tous les plans.
Le dernier chapitre, "Présentation, analyse et interprétation des résultats de l'enquête" ; il nous montre que la femme a généralement toutes les tares et préjugés, ce qui constitue un handicap majeur pour un développement équitable. Enfin, nous constatons que le développement équitable demande une contribution de la femme et de l'homme à la fois.
Don
396.
Etude comparée de la femme traditionnelle et la femme moderne pour un développement équitable : Enquête menée auprès des femmes de la commune Murwi, zones Ngoma, Murwi et Buhayira / Evelyne Irambona ; Ph.D. Isaie Nimpagaritse, directeur . - Bujumbura : Université du Burundi, Faculté des Lettres et Sciences Humaines, département de langues et litératures africaines, 2013 . - IX-110 f. ; 30 cm.
La femme, que ce soit généralement en Afrique ou au Burundi en particulier, était, depuis la période traditionnelle, soumise aux diverses contraintes de la société. Notre question est de savoir si les femmes traditionnelles ne voyaient pas que les contraintes traditionnelles constituaient un obstacle à leur développement équitable. Etaient - elles incapables de pouvoir participer à la prise des décisions partout où elles étaient impliquées ?
Notre travail est subdivisé en quatre chapitres : le premier étant " Le cadre théorique et conceptuel" ; il définit et montre la relation entre différents termes en rapport avec le sujet. Le deuxième chapitre, "La femme dans la société africaine", est consacré à une comparaison sur la place et la situation de la femme africaine traditionnelle et moderne d'une façon générale, et en particulier la femme burundaise. Le troisième chapitre, "La position de la femme burundaise traditionnelle et moderne" ; il traite de la position de la femme burundaise traditionnelle et moderne. Dans l'étude que nous avons faite, nous avons mis à part la femme ancienne, tandis que l'autre ne se dessine que dans une période quasiment apparente.
D'une part, le statut de la femme traditionnelle est au cachot du désespoir. Ses droits et devoirs limités, sa contribution piétinée et son action juridique et politique voilées. D'autre part, la femme moderne est un agent égal à l'homme dans les facteurs de la promotion étatique. De ce fait, l'homme et la femme sont alors égaux pour s'atteler à la construction de leur territoire national sur tous les plans.
Le dernier chapitre, "Présentation, analyse et interprétation des résultats de l'enquête" ; il nous montre que la femme a généralement toutes les tares et préjugés, ce qui constitue un handicap majeur pour un développement équitable. Enfin, nous constatons que le développement équitable demande une contribution de la femme et de l'homme à la fois.
Don
396.